L’interview de la semaine : Benjamin Deceuninck et Bruxelles !
Après la victoire miraculeuse des « Diables » face au Japon, la grande aventure continue dans l’enthousiasme général, du moins jusque vendredi avec le quart contre le Brésil. N’est-ce pas quand même un peu… harassant ?
« Il y a naturellement des jours plus difficiles. En tout, 64 matches au total, c’est beaucoup. Mais notre émission est avant tout un travail d’équipe, comme le football, avec un tas de gens très intéressants, ce qui rend le quotidien toujours varié. Et puis, ce n’est jamais compliqué de parler de sa passion. ».
Justement, chez vous, il n’y a pas que le football. On vous dit passionné de golf… comme joueur.
« Oui, j’adore ça. Je joue plusieurs fois chaque mois. Depuis le début du Mondial, évidemment, c'est beaucoup moins. A vrai dire, une seule fois depuis la mi-juin. Là, c’est donc en veilleuse… ».
D’où tenez-vous cette passion pour le sport en général ?
« Je suis né à Namur d’un papa ardennais et d’une maman mouscronnoise. J’ai en fait vécu touts ma jeunesse à Mouscron, ce qui a fait de moi un vrai « Hurlu »… (ndlr : surnom, entre autre, des supporters de l’Excelsior, club de football de l’élite).
Aujourd’hui, pourtant, vous vivez à Bruxelles…
« J’y suis arrivé à 18 ans pour mes études à l’IHECS (ndlr : école supérieure de communications sociales située en plein centre de la Capitale). C’était il y a un peu plus de 20 ans et depuis, je n’ai plus jamais quitté Bruxelles. D’ailleurs, ça ne me viendrait même plus à l’esprit. Je suis devenu un vrai citadin dans l’âme ! ».
Crédit photo: RTBF
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