Le BSF ne se fait pas en un jour
Comme tous les festivals, le BSF ne s’improvise pas. « En fait, nous commençons à penser dès à présent à la programmation de l’édition 2017» explique Denis Gerardy, directeur du BSF.
Une équipe de trois personnes travaille à temps plein toute l’année pour le BSF. A partir de janvier, ce sont dix personnes. En cette période où le festival approche à grands pas c’est une quarantaine de personnes qui travaillent dans les bureaux au-dessus de la Madeleine. Pendant le festival, avec les bénévoles et les jobistes, 500 personnes feront tourner la machine du BSF.
Nouveautés 2016
Parmi les changements apportés par l’organisation : l’entrée de la Place des Palais ne se fera plus du côté rue Royale/place Royale mais depuis le parc. L’entrée des spectateurs se fera en deux étapes : un contrôle de sécurité avant le contrôle des bracelets d’entrée.
Accueillir sans céder à tous les caprices
Les artistes en tournée font parvenir à l’organisateur un document (le « rider ») dans lequel ils font connaitre leurs besoins techniques (éclairage, son, etc.) mais aussi ce qu’ils souhaitent trouver dans leurs loges. Les demandes vont du bon enfant « un poster de Justin Bieber » à des demandes que le BSF ne satisfait pas toujours (paires de chaussettes, chargeur iPhone, etc.). Pendant le festival, Ines Mayol Hernandez, en charge de l’accueil des artistes sera à la tête d’une équipe de six bénévoles d’accueil et 7 « runners» chargés de l’acheminement.
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