L'art accessible
Des évènements, des galeries, des concepts,… les options ne manquent pas.
L’art évènementiel
Du côté d’Art Truc Troc, avec un post-it, un bic et un peu d’imagination, on peut espérer repartir avec l’œuvre de ses rêves. Dans les allées de l’Affordable Art Fair, il faut ouvrir son portefeuille pour en sortir un billet doré ou un gros chèque.
L’art en location
L’Artothèque de Wolubilis a vu le jour au début des années septante. Le principe est simple. Moyennant une cotisation annuelle et un droit de location (à partir de 10 € par mois), vous pouvez accrocher chez vous une œuvre de la collection de l’artothèque pour une période entre 1 et 6 mois. Plus de 1.000 pièces vous attendent…
L’art en magasin
A côté des galeries d’art et des salles de ventes aux enchères, quelques boutiques permettent de s’offrir une belle pièce à moindre coût. Au Sablon, le pied à terre bruxellois de Yellowkorner n’a qu’un seul crédo : démocratiser la photographie d’art et la rendre accessible à tous. Du côté du Châtelain, Chantier(s) Arthouse est un concept hybride délicieux, quelque part entre la galerie d’art, le magasin de décoration et le salon de thé.
L'atelier de moulage des Musées Royaux d'Art et d'Histoire exploite une collections de 4.000 moules. Il propose donc d'acquérir une copie de votre oeuvre préférée à un prix raisonnable, à condition qu'elle fasse partie de la collection. Si la copie du fétiche Arumbaya vous sera facturée 20€, il vous faudra toutefois débourser 11.000 € pour la victoire de Samothrace. Les têtes et autres bustes sont les pièces qui connaissent le plus de succès. Comptez entre 300 et 600 €.
L’art dans les musées
L'art, souvent ancien, se cache aussi dans les musées. Et certains de ces musées sont régulièrement accessibles gratuitements soit les premiers dimanches du mois pour une petite trentaine d'adresses, soit les premiers mercredis pour les établissement fédéraux. et enfin d’autres sont accessibles toute l’année sans devoir s’acquitter d’un droit d’entrée. Dans la catégorie des arts, il s’agit des musées consacrés à Antoine Wiertz et Constantin Meunier. La Cinematek, consacrée au septième art, est-elle aussi accessible gratuitement.
L’art en plein air et sous terre
La bande dessinée est certainement l’art bruxellois par excellence. Au centre-ville, il suffit de lever les yeux pour profiter des façades du parcours de la bande dessinée.
Une plongée sous terre, vous ouvrira les portes de la plus grande galerie d’art bruxelloise : le réseau du métro. Plus de 80 œuvres garnissent les stations, quais et autres couloirs. Découvrez nos 10 coups de cœur au fil des lignes de la STIB.
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