Championnat du Monde de Cyclisme @ Valkenburg
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Écrit par BrusselsLife Team -
06 sept. 2012, 00:00
(Mis à jour: 13 déc. 2012, 07:59)

La cuvée 2012 des championnats du monde de cyclisme aura lieu dans le Limbourg hollandais, à deux pas de la frontière belge. Une région où le cyclisme est ancré dans les moeurs, où le tourisme est roi et où le paysage est plutôt vallonné... Le décor est planté et tous les ingrédients sont réunis pour en faire une grand fête de la petite reine. Une fête dont vous pouvez être un acteur puisque Valkenburg, c'est pas bien loin...
Si les championnats commencent le 15 septembre avec le contre-la-montre par équipe, la course reine aura lieu une semaine plus tard. Le peloton s'élancera le dimanche 23 septembre. Les cents premiers kilomètres seront courus sur un parcours en ligne avant d'attaquer le circuit local. Ces dix tours offriront deux difficultés stratégiques pour les spectateurs: le Bemelerberg et le Cauberg. Après 10 tours du circuit, l'arrivée sera jugée 1,5 kilomètres après la dernière ascension du Cauberg. Le meilleur coureur du jour revêtira alors la prestigieuse tunique arc-en-ciel.
Une colonie belge devrait prendre Valkenburg d'assaut et transformer la montée finale du Cauberg en camp protégé. Les hollandais, eux aussi fervents supporters, ne devraient pas se laisser faire... Le spectacle sera aussi sur le bord de la route!
Comment se rendre au Cauberg (Valkenburg)? L'accès en voiture au Cauberg et au site d'arrivée promet d'être chargé, soyez prudent et prévoyez de partir assez tôt. Pour atteindre les parking de la zone d'arrivée, prenez la direction de 6262 Margraten. Pour le pied du Cauberg, tentez votre change via le sorties 3 et 4 de la A79. Là aussi prévoyez 1h30 de trajet depuis Bruxelles en temps normal. Il est également possible d'atteindre Valkenburg par train depuis Maastricht. Maastricht étant accessible en train depuis Bruxelles ou en voiture. Et comme nous sommes aux Pays-Bas, des parkings vélos sont également prévus, mais là il va vraiment falloir se mettre tôt en route. Frédéric Solvel