Bruxelles à la chapelle - Collapsologie
25 May 2018 - 17 Jun 2018
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Chapelle de Boondael - 10 Square du Vieux Tilleul 1050
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Le titre est un emprunt et un clin d’œil, à Pablo Servigne biologiste et ingénieur agronome qui développe le concept de «collapsologie» pour mieux penser l’effondrement économique, énergétique, financier et écologique de la mondialisation et de la croissance à tout prix.
Si la prophétie d’apocalypse plane sur l’humanité depuis le début de son histoire, aujourd’hui entre intuitions et recherches basées sur des travaux scientifiques reconnus, la fin du monde, ou tout au moins d’un monde, serait pour demain.
Prophétie, menace ou désir, la catastrophe nous fascine. La chapelle de Boondael est un lieu propice à nous la (re)présenter.
C’est d’ailleurs en faisant usage des codes religieux sur fresque et vitraux, que l’artiste investit la chapelle et nous emmène dans sa vision.
L’exposition se vit en deux temps et lieux:
•la fresque, véritable bande dessinée baroque, représente le moment du choc;
•les vitraux, quant à eux, sont le retour au calme d’un monde immergé, des images d’une douce étrangeté.
L’artiste Areti Gontras a suivi une formation à la Cambre et consacre son travail à la ville, Bruxelles en particulier.
Elle a ainsi réalisé plusieurs marquages de vitrines pour le Samu ou les maisons de quartier de la Ville de Bruxelles et autres fresques (notamment au Musée Charlemagne en Allemagne), des illustrations (essentiellement pour l’éducation à la protection de notre environnement) et participe à des expositions collectives (Médiatine, TrucTroc...) et individuelles.
Elle a également remporté quelques prix et concours dont «Bruxelles je t’aime» et le prestigieux «Montblanc likes Art».
Actuellement, l’artiste travaille à un projet de film d’animation ainsi qu’à la création de Bruxelles 2048, un «livre d’images», dont la thématique est la ville post-apocalypse.
Si la prophétie d’apocalypse plane sur l’humanité depuis le début de son histoire, aujourd’hui entre intuitions et recherches basées sur des travaux scientifiques reconnus, la fin du monde, ou tout au moins d’un monde, serait pour demain.
Prophétie, menace ou désir, la catastrophe nous fascine. La chapelle de Boondael est un lieu propice à nous la (re)présenter.
C’est d’ailleurs en faisant usage des codes religieux sur fresque et vitraux, que l’artiste investit la chapelle et nous emmène dans sa vision.
L’exposition se vit en deux temps et lieux:
•la fresque, véritable bande dessinée baroque, représente le moment du choc;
•les vitraux, quant à eux, sont le retour au calme d’un monde immergé, des images d’une douce étrangeté.
L’artiste Areti Gontras a suivi une formation à la Cambre et consacre son travail à la ville, Bruxelles en particulier.
Elle a ainsi réalisé plusieurs marquages de vitrines pour le Samu ou les maisons de quartier de la Ville de Bruxelles et autres fresques (notamment au Musée Charlemagne en Allemagne), des illustrations (essentiellement pour l’éducation à la protection de notre environnement) et participe à des expositions collectives (Médiatine, TrucTroc...) et individuelles.
Elle a également remporté quelques prix et concours dont «Bruxelles je t’aime» et le prestigieux «Montblanc likes Art».
Actuellement, l’artiste travaille à un projet de film d’animation ainsi qu’à la création de Bruxelles 2048, un «livre d’images», dont la thématique est la ville post-apocalypse.